Protection de l'environnement

NATURA VIVA PRO
Processing Réduction Organic

Système professionnel de réduction de déchets organiques

(breveté INPI N° de publication 1202390)

 

Création d'un système de réduction, suivie d'une élimination totale des déchets organiques ménagers pour les particuliers comme chez les professionnels, notamment les producteurs de déchets supérieur à 2 Kg jusqu'à 500 kg par jour de matières fermentescibles, particulièrement en restauration traditionnelle ou restauration rapide, pour les grandes surfaces ou encore cantines scolaires, ou chez les fabricants de plats cuisinés.

La nouvelle législation sur la collecte des OM dès 2012, c'est à dire l'institution d'une Redevance d'Enlèvement des Ordures Ménagères (REOM) est liée au service rendu.

Son montant sera variable selon le poids des déchets, pesés à chaque enlèvement.

Ainsi une Redevance Incitative (RI) dont la mise en place est prévue pour le mois de juillet 2012, ouvrant ainsi une voie importante pour le marché du recyclage des OM (y compris les emballages cartons).

Pour exemple, chez les professionnels (source ADEME) :

En ce qui concerne le cout financier d'une installation de réduction des matières organiques devient extrêmement avantageux et d'une bonne rentabilité financière.

La mise en place de cette nouvelle législation nous fait revenir sur la conception d'un système de traitement biologique « Eco fermentation automatique », système breveté en 1992, et dirigé sur l'accommodat de souches bactériennes destinées à la dégradation de la partie fermentescible. Ce système avait déjà été amélioré en 2004, époque à laquelle nous avions créé un mélangeur souches biologiques/ordures ménagères, également breveté.

Avec la mise en application de cette nouvelle redevance, notre proposition technique permettant la disparition complète de la fraction fermentescible des ordures ménagères et de certains emballages organiques (papiers, cartons) prend ainsi un intérêt de premier plan, d'autant qu'il permet l'évacuation des résidus secs dans la filière compostage voire, pour les professionnels, directement dans le réseau via un bac à graisse ou le réseau d'assainissement urbain dans le respect des normes européenne.)

Ces résultats sont le fruit d'une sélection de différentes souches bactériennes spécialisées et les tests pratiqués sur une période d'1 an, démontrent une dégradation spectaculaire de la fraction fermentescible entre 4 et 24 heures.

La dégradation organique

La dégradation organique des ordures ménagères est naturellement variable en fonction de la nature des déchets mais, globalement, nos tests mettent en avant une réduction de 75% à 85% de la masse, ce qui représente un gain de 80% à 90% en termes de volume. (selon le produit à dégrader)

1. Une approche du fonctionnement biologique :

Le rapport de la surface sur le volume est une des caractéristiques fondamentales du fonctionnement bactérien.

Ce principe d’interface est au cœur de notre système de biodégradation où le temps de traitement des déchets ménagers ne doit pas excéder 24 heures. (Rôle d'interface)

C'est à travers l’interface que vont se faire les échanges entre les microorganismes et leur environnement, en l’occurrence les enzymes sécrétées par les bactéries et les matières organiques à dégrader. Plus le renouvellement de ces matières sur le lit bactérien est important, plus les échanges augmenteront et, par conséquent, plus rapidement sera « digérée » cette matière.

Notre système permet cette accélération. Rôle structurel de notre méthode de nidification : Notre méthode d’implantation de colonies bactériennes spécialisées sur support minéral permet une nidification efficace et protégée qui augmente la résistance des micro-organismes aux agents extérieurs. Moins sensibles aux produits chimiques, aux variations de température et autres contraintes mécaniques accidentelles, nos bactéries sont plus résistantes et entrainent une meilleure homogénéisation du compost.

2. Besoins nutritifs

Les bactéries sont des organismes vivants qui ont besoin de trouver dans leur environnement tous les éléments qui constituent leur structure cellulaire, c'est-à-dire : C, H, O, N, P, S…Ces éléments se trouvent sous forme de molécules plus ou moins complexes tels que sucres, amidon, cellulose, protéines, matières grasses, hydrocarbures... éléments naturellement présents dans les matières organiques.

3. Mode de croissance des bactéries :

Ce mode est de type exponentiel.

  • 1° Phase de latence :
  • Accoutumance des bactéries à leur environnement, synthèse des premières enzymes.

  • 2° Phase de croissance exponentielle :
  • Les bactéries se reproduisent très rapidement.

  • 3° Phase stationnaire :
  • Arrêt de la reproduction, les bactéries vivent sur leurs réserves en nutriment. (Phase dynamique)

  • 4° Phase de déclin :
  • Le nombre de bactéries diminuent rapidement (phase de vieillissement)On observe alors un ralentissement de la période stationnaire; le phénomène de vieillissement des bactéries inhibant la croissance, finit par engendrer un dysfonctionnement de la dégradation.

    Afin d’éviter cette diminution des rendements, il convient de rajeunir la biomasse pour assurer une dégradation constante et linéaire.

    Techniquement, pour un appareil prévu pour traiter 200 kg de déchets ménagers/jour, cet entretien se réduit à un apport journalier de 25 à 50 gr de produit biologique.

    3. Conclusions :

  • Dans le processus, on peut distinguer 3 phases de réduction:
  • 1. Réduction de volume : entre 1 à 4 h en fonction de la charge
    2. Réduction d’humidité : entre 4 à 10 h selon la siccité
    3. Réduction de masse: 10 à 12 h

    inclus stabilisation et homogénéisation , variable selon la nature des déchets.



  • Avec les consortiums composés par Natura Viva, il a été observé dans un cycle complet de 12 h:
  • Réduction de volume > 90%
    Réduction de masse > 90 %
    Humidité homogène en fin de processus éjection de la réduction tous les 24 Heures.

    Il est important de noter que le consortium bactérien préparé par Natura Viva permet une dégradation de la matière stabilisé, avec une matière organique complètement dégradé, propre, sec et sans odeur. Conforme aux normes de rejet en Restauration, ce digestat inerte pourra être évacué en toute légalité dans un bac à graisses de type biologique ou non, assurant ainsi une disparition à 100% des déchets de manière écologique et responsable, cette dernière phase assure l’élimination des graisses en continue.

    Le principe de la RMO assure la dégradation biologique : Des lisiers de bovins, de porcs, fientes de poules, boues des stations d’épurations.

    Gammes : de 5 Kg à 10 tonnes par 24 heures. Fabrication NF en inox 316 L et 304 L